Bezef, c’est “trop” en sabir, “trop” dans quelques histoires extrêmes du répertoire arabo-persan sur le thème des désirs immodérés. D’abord un slishkom de paresse, un too much de cupidité, un « ziyaada » d’ennui, un grand chouia de méchanceté… Ce trop là, passe au galop ! Mais le vrai « bezef », le démesuré, l’exagéré, l’abusé, c’est quand la chance vous colle après comme une malédiction, comme un sparadrap dont on arrive pas à se défaire.